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Département du Tourisme ,1966. (la photographie est moins récente que la publication)
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Intéressante étude à l'époque (1967) pour qualifier les zones d'influence de chaque municipalité de la Côte-Nord .
Les critères retenues par le ministère de l'Industrie et du Commerce:
1. le lieu de travail, 2. le commerce de détails et 3. les services.
Le Bureau de recherches économiques a utilisé une méthode simple pour la cueillette des données:
Les questionnaires spécifiaient que les informateurs ne pouvaient identifier leur propre municipalité puisque le but était de cerner les centres qui avaient une influence sur la municipalité du témoin. 17 questions permettaient d'identifier les habitudes de fréquentation des citoyens de la région dans les domaines du travail, commerce et services. Dans cet article, je ne rapporte que les informations concernant la HCN . L'étude complète est disponible à cette adresse:
https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3476213?docref=57EPlKwnZ8BUwT0T8XNinQ&docsearchtext=p%C3%B4le%20cote-nord
17 QUESTIONS
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Cette photographie est ici ajoutée à titre indicatif. Ne lisez pas les résultats sans tenir compte de l'état de la route 15 en 1967 ! Vous verrez que le poids des réponses concernant Hauterive-Baie-Comeau prend un autre sens ...
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RÉSULTATS
La tendance est nette, les pourcentages montrent une fréquentation du villages des Escoumins pour divers services. Il est à noter que l'Hôpital Saint-Alexandre, les chantiers de la Consolited Bathurts, la présence de trois institutions financières ont un poids considérable dans cette étude.
En ce qui concerne les Grandes-Bergeronnes, on découvre dans le reste de l'étude que les services éducatifs rallient des citoyens de la basse Côte-Nord. Ainsi , Aquanish 9 % , Havre-St-Pierre 5 %, Tête-à-la Baleine 20 % et Longue-Pointe de Mingan 6 % identifient le village comme centre fréquenté par leurs citoyens.
Mon père.Charles E. Boucher, dont je suis très fière a été également le premier préfet du compté. Son travail ne s'est pas fait seul, il a été accompagné du Curé Lévèsque, de Jean-Charles Tremblay et de monsieur Racine. Je peux également dire qu'à sa dernière élection ou perte d'élection, il ne voulais plus se présenter, il a fini par se laisser convaincre par ses amis. Nous n'avons jamais dissuader celui-ci de se présenter mais nous n'avons alors fait aucune pression sur lui. Mon père était un grand homme, les Escoumins lui doivent beaucoup. En cette année du 175e anniversaire de la municipalité, j'espère que personne n'oubliera les vingt-cinq années alors qu'il choisissait plus souvent la municipalité que sa famille même s'il nous aimait tous profondément. C'était un grand homme.
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