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| Le Progrès-Dimanche, 26 août 1977 |
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S'exiler pour gagner sa vie : la Baie-James était la destination ultime pour gagner sa vie. Bien des ménages n'auraient pu continuer de vivre au village sans ce projet d'envergure initié par Robert Bourassa |
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1. Arthur Simard était le contracteur désigné du projet de 1, 5 million qui permit de moderniser le réseau d'aqueduc du village. 2.La fusion était un objet de discorde entre les Petites et les Grandes. Sur ce point Jaques Girard avait tout à fait raison, la logique d'une union nécessaire pour le développement était freinée par des intérêts pécuniers engendrant une vision à courte vue. |
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| Selon Jacques Girard, la fusion serait avantageuse mais... En 1977 , l'industrie touristique comme le souligne Charles-Edmond Lessard, est encore un joueur mineur dans l'économie locale. Il faudra pour ajouter un apport économique supplémentaire à une économie essentiellement agro-forestière et commerciale , voir passer quelques années et beaucoup de projets mettant en valeurs divers sites du village. |
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