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| Objet retrouvé après un naufrage à Bergeronnes |
La trouvaille fut faites par madame Virginie Tremblay (mariée à Épiphane Lavoie , cultivateur en 1871, née en 1855 ) .
Madame Virginie Lavoie, fille de Léon Lavoie et Christine Couturier, habitait les Petite-Bergeronnes où son conjoint était cultivateur.
Un document non daté, signé Denis Lavoie donne quelques informations au sujet de cette trouvaille .
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| Fait à remarquer: la biffure nous indique la grève de Bon-Désir comme lieu de la trouvaille , la correction indiquant plutôt la grève de Petites-Bergeronnes ? |
Voici un tableau pour faciliter la compréhension de cette lignée.
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| Premiers résultats de la recherche |
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| Extrait de l'acte de mariage d'Edgard Bouchard et d'Olivine Simard à la Paroisse Saint-Marcellin de Les Escoumins |
Le message est inscrit derrière cette carte, aussi récupérée du naufrage.
Les goélettes n'étaient pas à l'abri des naufrages, le Saint-Laurent comme le Saguenay étaient difficile à naviguer . À partir de 1930, on passa de la voile au moteur ce qui ne signifie pas que tout danger était écarté . Le métier de marin restait risqué.
Sur certains navires, on réserva longtemps un coin dédié à Sainte-Anne , la protectrice des marins. On invoquait son secours devant l'adversité : vents contraires, vagues en furie, hauts-fonds... les obstacles étaient nombreux et les prières si elles n'exauçaient pas tous les voeux des marins, faisaient office de refuge quand l'anxiété gagnait l'équipage.
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| Embouchure de la riviere Petite-Bergeronnes vers 1872 Canadian Illustrated News, 12 juin 1873 |






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